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1er Projet social

'Diagnostic de la douleur bucco-faciale'

En raison de la vocation sociale intrinsèque du projet Masticationpedia, le Centre Dentaire Frisardi, conformément aux objectifs des Charités anglo-saxonnes, se met à la disposition des citoyens avec le premier projet social, celui du diagnostic des 'douleurs orofaciales'. Si vous voulez en savoir plus sur l'importance d'un diagnostic précoce de la douleur bucco-faciale, visionnez la vidéo ci-dessous.

Cette première initiative sociale, qu'il est bon de savoir pour comprendre la clarté des intentions, est liée à la rigueur des lois anglo-saxonnes qui réglementent le fonctionnement des Charities.

Selon la loi, les organismes de bienfaisance ne peuvent pas redistribuer les bénéfices ni payer les administrateurs, qui sont essentiellement les membres fondateurs. Cette initiative est donc un bénéfice social direct et la contribution de tous les professionnels qui partagent cette initiative est essentiellement un choix profondément éthique et personnel. Évidemment, tout sera lié au nombre de patients demandant le service et aux ressources financières dont dispose la Charité. Cela signifie que l'initiative de diagnostic sera en mesure de diffuser un savoir-faire, des avantages sociaux à travers un modèle appelé 'Bootstrapping' dont nous donnerons une brève explication.

Figure 1: Patient souffrant de bruxisme et traité pendant 10 ans avec un plan de morsure dentaire. A notre attention, les tests électrophysiologiques du trijumeau ont indiqué une forte hypercitabilité centrale de nature à nécessiter une IRM avec contraste. Le diagnostic était de Cavernome Pinéal (voir flèche jaune). Actuellement, le patient est en bonne santé et sans biteplane. (voir Behav Brain Funct)

La médecine avec un grand M coûte cher dans tous les sens tant du point de vue de l'implication humaine, existentielle, opérationnelle et intellectuelle que d'un point de vue technique dans le sens où plus elle est investiguée instrumentalement et moins la conclusion diagnostique est dispersive et inappropriée. sera. . Tout cela nécessite un soutien financier indicible auquel les États répondent en réservant un pourcentage très élevé du PIB sans toutefois pouvoir satisfaire toutes les demandes sociales.

Pour cette raison, dans certains États, la législation a promu des personnalités juridiques appelées «Tiers secteur», c'est-à-dire des associations, des bénévoles et des œuvres caritatives.

Mais ce n'est pas suffisant pour mille raisons mais surtout pour l'implication d'entités disposant de gros moyens financiers qui pourraient combler cet écart entre l'offre et la demande et c'est précisément pour ce besoin que certains États ont pensé à des formes hybrides telles que le 'Beta Société désignée en Italie comme « Start up à vocation sociale » (SIAVS) et en Angleterre avec la « Société d'intérêt communautaire » (CIC) dans laquelle toute entreprise peut diriger une partie de son savoir-faire et de son service vers les citoyens sans recevoir directement un bénéfice commercial ainsi que d'autres incitations fiscales.

Tous très intéressants et positifs mais il y a quand même des cas comme celui de la figure 1 et bien d'autres qui seront décrits dans le Wiki Masticationpedia pour lesquels une question se pose : il y a un trou infranchissable dans le système, où ? Le trou est le manque d'implication de l'individu en tant qu'élément clé du changement d'époque. autrement dit, il faut redonner de la valeur aux porteurs de savoir-faire car c'est la seule richesse de l'être humain.

Avec le "bootstrapping" qui serait essentiellement le contenant économique déterminé par les dons du monde entier sans recourir au crédit bancaire, aux subventions de l'Etat et à tout ce que l'on peut faire entendre au porteur de savoir-faire, (et ils sont innombrables dispersés aux quatre coins du monde) pour mettre en œuvre de véritables initiatives expérimentales et de recherche sans ingérence industrielle et politique extérieure. Dans le même temps, atteindre des objectifs de progrès scientifique et des bénéfices sociaux directs grâce à la valeur ajoutée du porteur de savoir-faire de la manière la plus libérale possible comme PK Feyerabend (voir page Réseau).